Conférences
Cecobois 2024
22 et 23 février 2024
Forum construction
bas carbone et biosourcée
21 et 22 février 2024
Événement incontournable des professionnels du bâtiment architectes, ingénieurs, fabricants, promoteurs et donneurs d’ouvrages réunis pour trois jours à Québec.
La programmation de la 10è édition des Conférences Cecobois mettra en lumière des solutions concrètes à travers plus d’une vingtaine de projets réalisés. Le Forum construction bas carbone et biosourcée promet d’explorer les meilleures pratiques en matière de construction durable, en mettant l’accent sur la décarbonation des bâtiments et l’utilisation de matériaux biosourcés.
Deux évènements
Un salon
+de 40 conférences
Conférencières vedettes
Carol Philipps
Moriyama Teshima Architects
22 février 2024 |17h30 à 18h30
Salle 2000AB
Présentée par
Limberlost Place -Changing culture on the Toronto waterfront (EN)
Limberlost Place, le projet phare du George Brown College, est le plus récent bâtiment en hauteur en bois dans l’est canadien et le premier en Ontario. Carol Philips, architecte chez Moryama Teshima, présentera ce projet comme un modèle d’innovation pour les bâtiments intelligents, durables et verts du 21e siècle dans tout le Canada. Limberlost
Laure Mériaud
Architecte associée, présidente
ATELIERS 2/3/4/
Cécilia Gross
Architecte associée, directrice
VenhoevenCS
22 février 2024 | 9h00 à 10h00
Salle 2000AB
Présentée par
Centre aquatique des Jeux Olympiques de Paris en 2024
Seul équipement majeur réalisé pour les Jeux olympiques et paralympiques organisés par la Ville de Paris en 2024, le Centre aquatique de Saint-Denis forme avec son franchissement piéton et le parc paysager de la Plaine Saulnier un écosystème cohérent et dynamique, coconçu par nos agences VenhoevenCS (Amsterdam) et Ateliers 2/3/4/ (Paris).
Le lieu
Centre des Congrès de Québec
1000 Bd René-Lévesque E, Québec, QC G1R 5T8
Projets en vedette
L'ingénieur en chef, John Peronto, se fera un plaisir de nous dévoiler les tenants et les aboutissants de sa conception audacieuse, en mettant en avant la beauté naturelle du bois massif ainsi que ses qualités intrinsèques. Il nous expliquera en détail comment cette structure dépasse les normes de résistance au feu, tout en intégrant un système ingénieux de poutres en béton précontraint pour une répartition efficace des charges.
En outre, des pieux en acier, renforcés par du béton de capacité exceptionnelle, ont été utilisés pour soutenir la superstructure. Cette approche novatrice réduit la demande en matériaux et le temps nécessaire à l'installation, ce qui se traduit par d'importantes économies. John Peronto explorera également comment cette avancée en ingénierie peut être appliquée à divers projets, que ce soit dans l'industrie, les espaces communautaires ou les établissements d'enseignement supérieur, mettant en lumière les avantages durables du bois de masse et son potentiel continu pour l'avenir.
*La conférence se fera en anglais
Crédit Photo : Thornton Tomasetti
Raphaël aura le plaisir de vous détailler les défis auxquels l’équipe d’ingénierie a dû faire face et aux stratégies utilisées pour livrer le projet selon les attentes des clients. Pour y arriver, le mot d’ordre était d’élaborer un concept optimal et simple pour tous les intervenants limitant ainsi les singularités dans la structure. L’intégration de toutes les parties prenantes en début de projet, la simplicité du concept structural, les stratégies de fabrication et d’installation seront les principaux thèmes abordés durant la présentation.
Crédit photo : Art Massif
Crédit photo :Bruno Barbosa
Mais le bois est aussi un matériau d’utilité qui, dans le contexte de lutte au changement climatique et ce peu importe la fonction et le budget disponible devrait être invariablement considéré et utilisé. Son usage dans les projets de petites envergures, en plus de ses qualités esthétiques indéniables, et l’effet positif que sa proximité a sur la santé des utilisateurs, permet entre autres d’augmenter considérablement les performances environnementales du bâtiment tout en favorisant l’atteinte des objectifs budgétaires et l’implication de fournisseurs locaux.
Par la présentation de petit projet non-résidentiel, tel que, entre autres, le Centre d'expérimentation et de développement en forêt boréale en forêt boréale (CEDFOB) et la gare maritime de Chevery, Stéphan Langevin nous expliquera pourquoi le bois est un choix qui s’impose dans l’élaboration de projets ‘’ordinaires’’, un marché qui encore aujourd’hui compose la majeure partie du parc immobilier Québécois.
Crédit photo : Alexandre Guérin
La mise en valeur du bois sur l’ensemble du site permet de tracer des liens avec l’histoire tout en créant un tremplin vers la nouvelle vocation de villégiature du secteur Camp-de-Touage du Parc national de la Pointe-Taillon. L'utilisation du bois dans les notions architecturales s'impose donc comme essentielle à l'expression même du lieu. Le visiteur explore le site grâce à une perméabilité fluide et à échelle humaine entre les espaces intérieurs et extérieurs, au fil de son parcours au cours de la nature.
Crédit photo : Stéphane
Groleau
Ce qui signifie que l’entrepreneur qui se voit attribuer le contrat devient responsable autant de la conception que de la réalisation des travaux.
Ce genre de projet laisse beaucoup plus de liberté aux fabricants de structure et permet donc de soumissionner de façon à optimiser ses coûts.
Dans cette conférence, Guillaume Brown fera un survol de toutes les composantes de la charpente de bois du bâtiment en mettant l’emphase sur la manière dont la structure a été optimisée pour être à la fois économique et répondre aux exigences en architecture. Par exemple, la façon dont les fermes hybrides de grande portée (37m / 121pieds) ont été configurées afin d’optimiser la production et permettre la réalisation d’assemblages esthétiques. Ou encore ce qui rend le système de pontage/diaphragme utilisé efficace et économique.
Il présentera aussi les défis rencontrés dans la portion « atrium » du bâtiment où un degré de résistance au feu de 60 minutes est exigé pour la charpente de bois apparente. La structure de l’atrium est contreventée par un système de cadres rigides, ce qui, combiné au critère de résistance au feu, nécessite des assemblages très particuliers.
Crédit photo :Tisseur
Crédit photo : Ashini Consultants
Deux bâtiments interreliés composeront le centre : un bâtiment souterrain de trois étages en structure d’acier, pour le stockage et l’entretien des bus.
Le bâtiment supérieur en forme d’anneau, composé d’une structure bois lamellé collé et CLT sur des colonnes acier, aura quant à lui une fonction de bureaux administratifs.
Manuel Touzin, ingénieur concepteur du projet et Pierre Guebey, technicien chez Nordic Structures mettrons en évidence les stratégies adoptées ainsi que les défis relevés lors des étapes de conception et d’installation de ce projet particulier.
Crédit : Lemay
S’inspirant de l’architecture moderne du bâtiment existant composé d’un basilaire en murs et contreforts en béton surplombé de tôle métallique, le nouveau Complexe multisport s’intègre en réinterprétant la stratification des niveaux de la polyvalente. Ainsi, un basilaire complètement vitré reprend l’alignement des sections de béton, tandis qu’un parement d’aluminium angulé avec un effet de diamant rappelle l’angulation des contreforts en hauteur.
La lumière naturelle est omniprésente, autant dans l’espace piscine que dans le gymnase, grâce la fenestration abondante sur la façade au nord et filtré par la deuxième peau en aluminium sur la façade sud. De plus, les espaces profitent de la lumière zénithale provenant des puits de lumière de près de 20 mètres de longueur orienté au nord dans le gymnase et le hall. Les poutres de bois d’une portée libre de 28 mètres dans le gymnase et de 34 mètres au-dessus du bassin sportif sont mises en valeur avec cette luminosité! Les impressionnantes poutres du secteur piscine d’une longueur de 56 mètres sont chapeautées de panneaux de CLT (Cross-Laminated Timber). D’ailleurs, par sa structure de bois, le complexe sportif participe à l’effort environnemental en séquestrant plus de 670 tonnes de CO².
Crédit photo :
Au cours des dernières années, l'utilisation du bois dans le milieu institutionnel éducatif a pris de l'ampleur, et dans l'agrandissement de l'école Fernand-Seguin, le CSSDM a cherché à innover et à atteindre un haut niveau écologique sur les questions de développement durable.
La nouvelle construction est un exemple des possibilités de l’utilisation du bois. Dans l’optique d’optimiser les coûts tout en profitant des avantages de la construction en bois, les architectes ont opté pour un système structural hybride, conjuguant l’ossature légère pour la zone de classe, et le bois lamellé-collé pour le gymnase et l'agora.
Crédit photo : Stephane
Brugger
Crédit : Woodzco
Nichée au carrefour central du centre-ville, là où le boulevard Saint-Laurent rencontre la rue Sainte-Catherine, l'Esplanade offre une expérience complémentaire à la Place des Festivals. En hiver, une patinoire réfrigérée attire les amateurs de glace, tandis qu'en été, une oasis de verdure offre fraîcheur et répit. Une programmation riche en spectacles et activités fait de cet espace un lieu de détente et de divertissement, dynamisant le processus de transformation du centre-ville qui est devenu un endroit diversifié et animé. La construction de nouveaux immeubles résidentiels adjacents à cet espace public en est la preuve tangible.
Conformément au plan de développement du Quartier des spectacles, l'Esplanade est dotée d'un bâtiment de service linéaire, perpendiculaire à la rue Sainte-Catherine, bordant une place publique. Cette place accueille des spectacles lors des festivals estivaux et se transforme en patinoire dès les premiers frimas de l'hiver. Pour faciliter ces transitions, un mobilier public comprenant chaises, tables, parasols, braseros, bacs de plantation, kiosques de service, clôtures, scène et équipements ludiques sont soigneusement entreposés en sous-sol et déployés selon les besoins.
L'intégration de l'Esplanade au projet du Quartier des spectacles s'opère en utilisant des matériaux et des éléments de mobilier urbain caractéristiques des phases précédentes. Du béton préfabriqué blanc, des pavés en granit gris, des lampadaires, des panneaux de revêtement en aluminium blanc et des accents rouges contribuent à affirmer l'appartenance du projet au Quartier, tout en respectant la vision qui l'a conçu.
Le bâtiment linéaire est divisé en trois espaces séparés par des terrasses, largement vitrées, évoquant les vitrines habitées bordant la Place des Festivals. Ces trois boîtes situées à l'étage, qui abritent des espaces publics de détente, sont construites avec une charpente en bois massif constitué de panneaux de bois lamellé-croisé, créant une atmosphère chaleureuse et rappelant celle d'un chalet, tout en offrant une vue sur la patinoire et l'espace public.
Le choix d'une charpente en bois s'inscrit dans une démarche de développement durable. L'énergie nécessaire pour la patinoire et le bâtiment provient d'un réseau de puits de géothermie, permettant de récupérer la chaleur émise par les pompes de réfrigération. De plus, les toits sont recouverts de végétation, produisant des herbes et des légumes utilisés par le restaurant, démontrant un engagement envers la durabilité.
Le rez-de-chaussée est équipé de murs vitrés entièrement rétractables, permettant une ouverture sur l'Esplanade en été. Ainsi, le restaurant peut s'étendre en terrasse, favorisant
une continuité avec l'espace public, tandis que le local de location de patins se transforme en un commerce éphémère de type pop-up, contribuant à l'animation des lieux tout au long de l'année.
Un vaste entrepôt en sous-sol facilite le stockage du mobilier urbain et des équipements destinés à la tenue d'événements variés dans le Quartier des Spectacles. Deux monte-charges et un débarcadère fermé optimisent la logistique de ces transformations permanentes.
Ce projet résulte d'une collaboration multidisciplinaire, orchestrée par l'architecte, réunissant ingénieurs, architectes paysagistes, designers d'intérieur, designers industriels, conseillers en scénographie et éclairagistes. Cette approche collaborative a enrichi l'espace public et favorisé une transformation harmonieuse.
L'engouement suscité par l'Esplanade Tranquille durant la pandémie, malgré des conditions météorologiques imprévisibles, témoigne de la nécessité d'adapter nos centres-villes aux nouvelles attentes des citoyens. Le secteur du Red Light, jadis associé à des bars et établissements peu recommandables, renaît en tant que lieu de vie sûr, agréable et inclusif. L'Esplanade Tranquille tire parti de l'expérience accumulée depuis le développement du Quartier international et du Quartier des Spectacles. Au cœur de cette transformation réside une stratégie visant à créer des espaces publics de qualité, stimulant une revitalisation immobilière en périphérie.
L'urbanisme passif, qui se limite à réglementer la densité et le choix des revêtements, ne suffit pas à bâtir une ville. Nous sommes fiers d'avoir contribué à la réalisation d'une vision plus généreuse et transformatrice, aujourd'hui plus que jamais essentielle pour relever les défis posés par l'évolution rapide de l'écosystème tertiaire.
Crédit photos : Steve Montpetit
Inspirée de l’analogie du hameau; l’implantation pavillonnaire de Förena Cité Thermale enveloppe les différentes stations thermiques extérieures et s’adapte à la topographie naturelle du site. Depuis la route, le volume forme une ligne épurée dans le paysage, dissimulant l’amplitude de la Cité se trouvant en contrebas. Le bâtiment d’accueil filtre l’arrivée des visiteurs sur les installations du site; tout en étant la mise en scène des vues imprenables sur le Mont Saint-Bruno et les plaines voisines. Clin d’œil vernaculaire aux bâtiments de ferme des terres agricoles voisines, le revêtement de cèdre argenté rappelle l’histoire du lieu tout en contribuant à l’utilisation de ressources locales et durables. Le traitement uniforme et cohérent de l’enveloppe des trois bâtiments s’inscrit dans la communion avec le paysage et interprète l’expérience thermale offerte aux visiteurs. L’envoûtement des lignes épurées du projet et du paysage bucolique débute dès les premiers instants.
La pérennité de l’ensemble et le souci d’une cohérence à long terme ont contribué au développement d’une architecture immuable pouvant s’adapter à différents scénarios de développement. Toutes les installations satisfont les critères d’accessibilité universelle et l’ensemble du projet vise des objectifs de développement qui feront de Förena la plus importante Cité thermale au Canada.
En cohérence exemplaire entre vocation commerciale et intégration environnementale, Förena peut aujourd’hui servir de référence aux développements commerciaux périurbains qui manquent cruellement de vision pérenne et durable.
Crédit photo : Raphaël
Thibodeau
Dans le cadre du Lab-École, le matériau bois est pleinement intégré au projet, de la charpente aux revêtements extérieurs, en passant par la galerie extérieure et les mobiliers intégrés. Il est important de noter que l’isolation en fibre de bois est utilisée pour la première fois dans un bâtiment institutionnel de cette envergure au Québec.
Crédit photo : Leclerc Architectes
Crédit photo : Crédit photo : James Brittain
Crédit : Latéral et BGLA
Crédit : Raphaël Thibodeau
Crédit : Anne Rousseau
Dans ce bâtiment académique de 10 étages, la conception prévoit des espaces généreux axés sur le bien-être et la durabilité. La forme du bâtiment et la façade seront façonnées de manière à maximiser l'accès à la lumière naturelle et à l'air frais. La structure sans poutre et de grande portée permettra aux murs de séparation de s'ouvrir et de se fermer, offrant ainsi une flexibilité de taille pour une variété d'espaces d'apprentissage.
Crédit photo :Moriyama Teshima
Crédit photo : GLCRM architectes
La construction de la nouvelle charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris est toujours en cours. Cet été 2023, une première partie de la charpente a été livrée. Ce sont 2000 chênes qui ont été nécessaire pour la reconstruction en utilisant des méthodes et techniques traditionnels. Le socle de 80 tonnes en forme de croix, qui soutiendra la flèche, sera bientôt fixé de manière permanente. D’ici la fin de l’année 2023, la flèche de 96 mètres devrait retrouver sa place, juste à temps pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris.
Le pavillon prend la forme d’un grand volume simple avec une toiture à deux versants recouverts d’un parement métallique gris clair et de lattes de bois. Les côtés longs du bâtiment suivent l’axe du quai, alors que les deux extrémités sont angulées pour suivre l’axe visuel formé par la position de la basilique depuis au quai. La volumétrie générale rappelle celles des bâtiments maritimes et des hangars à bateaux que l’on retrouvait autrefois sur le site. Elle rend aussi hommage aux maisons d’inspiration française aux formes simples qui habitent le paysage de la côte de Beaupré. L’utilisation principale du bois dans le nouveau pavillon se retrouve dans la structure en ossature légère et de fermes de toit préfabriquées. Ce choix structural réfléchi a permis d’exprimer clairement la simplicité volumétrique extérieure et ses angulations tout en respectant le budget du client. Puisque l’une des fonctions de ce petit édifice public était d’accueillir des événements variés, les espaces intérieurs devaient assurer une flexibilité d’aménagement et être libres de supports structuraux.
Crédit photo : Groupe A / Annexe U
Ce projet de restauration patrimoniale offre une rare opportunité d'utiliser le bois pour des fonctions peu courantes de nos jours. Les composants structuraux en bois les plus importants ont été restaurés, et certaines des pièces les plus volumineuses du mécanisme ont nécessité un remplacement. Ces éléments en bois massif ont été fabriqués sur mesure, découpés et séchés pour produire des pièces de chêne et de pruche aux dimensions exceptionnelles.
CRÉDIT PHOTO : Raphaël Thibodeau
L’équipe en charge du projet, Nicolas Joly, Marc-Olivier Beaudry et Marie-Eve Labelle seront présents à la conférence CECOBOIS afin de mettre en évidence les enjeux techniques et conceptuels rencontrés, ainsi que les points saillants du projet d’un point de vue des architectes, des ingénieurs concepteurs ainsi que des ingénieurs fabricant/atelier de bois lamellé-collé.
Crédit photo : Cecobois
Mais le bois est aussi un matériau d’utilité qui, dans le contexte de lutte au changement climatique et ce peu importe la fonction et le budget disponible devrait être invariablement considéré et utilisé. Son usage dans les projets de petites envergures, en plus de ses qualités esthétiques indéniables, et l’effet positif que sa proximité a sur la santé des utilisateurs, permet entre autres d’augmenter considérablement les performances environnementales du bâtiment tout en favorisant l’atteinte des objectifs budgétaires et l’implication de fournisseurs locaux.
Par la présentation de petit projet non-résidentiel, tel que, entre autres, le Centre d'expérimentation et de développement en forêt boréale en forêt boréale (CEDFOB) et la gare maritime de Chevery, Stéphan Langevin nous expliquera pourquoi le bois est un choix qui s’impose dans l’élaboration de projets ‘’ordinaires’’, un marché qui encore aujourd’hui compose la majeure partie du parc immobilier Québécois.
Crédit photo : Alexandre Guérin